Régent Martin
Natif de Saint-Modeste qu’il quitta pour acquérir des connaissances et découvrir le monde, il y revint pour les mêmes raisons. Et n’est presque plus reparti depuis. Parce que de là, sur la pointe des pieds, on peut apercevoir le fleuve et plus loin, derrière Cacouna, le quai de Blanc-Sablon, parfois Paris. Il y travailla dans une pépinière gouvernementale afin que, dans cinquante ans, il soit encore possible de fabriquer des berceaux de bois, des chevrons, des violons. Il a publié à ce jour deux recueils de poésie et une myriade de textes de chansons, mis en musique par son fils Olivier Martin, auteur-compositeur-interprète.